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[Esaïe 63-65] – Je suis là, et toi… où es-tu ?

Dieu n’est jamais bien loin, bien que lorsque nous faisons la sourde oreille sa voix se fait lointaine. Nous plaignons-nous de ne plus sentir Dieu ou l’entendre ? Peut-être faut-il penser à se retourner (se repentir), le chemin de retour n’est peut-être pas si long.

[Esaïe 58] – Vivre dans l’abstinence

Faire des absentions ou vivre dans l’abstinence. La différence est fondamentale pour notre vie. Au travers de la discipline du jeûne nous voyons comment cette pratique peut être réellement pertinente et transformatrice si l’intention est bien saisie, mais aussi totalement inutile lorsque ce n’est pas le cas.

[Esaïe 45-55] – les dommages collatéraux…

…..et la guérison dans la confession. Nos actions ont des conséquences. Dans les meurtrissures de Jésus, le serviteur souffrant, nous trouvons la guérison (Esaïe 52:13-15 ; 53:1-12). Lorsque nous confessons notre part dans l’oppression et reconnaissons notre implications dans la mort de Jésus, véritable incarnation des victimes d’injustices, alors un processus de guérison peut commencer. Ce sera un chemin de croix pour changer, mais l’héritage qui procède de la souffrance c’est la justice et la paix qui viennent de Dieu.

Esaïe 44-45 – Je ne t’oublierai pas !

Nous appartenons à Dieu. Dans la bienveillance de notre père qui ne nous abandonnera jamais, laissons lui tout contrôle sur nos désirs, laissons lui nos vengeances. Il était là avant nous, il sera là après. Laissons notre présent être relu sous un nouvel angle, à la lumière du passé ; du nôtre mais aussi celui des témoins qui nous ont précédé. Là est la clé de la paix.